Notre programme
Donnons vie à vos idées !
Il y a un an, le 23 septembre 2017, nous avons choisi de dépasser l’approche partisane classique en présentant aux Dinantaises et aux Dinantais un groupe pluraliste soucieux de répondre aux besoins de toute la population. Rassemblant des mandataires et des acteurs citoyens de diverses tendances, notre équipe annonçait qu’elle lançait une vaste réflexion ouverte aux personnes intéressées par le projet et motivées par la perspective de proposer une véritable alternative à Dinant.
Dès le mois de décembre, nous avons multiplié les séances de travail et participé à une série de conférences présentées par des experts. Nourris par les observations et l’expérience de ces spécialistes, nous avons discuté et affiné des dizaines de propositions en vue d’améliorer le quotidien des Dinantaises et des Dinantais de manière concrète et réaliste.
Désireux d’approfondir leur investissement, un certain nombre de participants à ces groupes de travail ont souhaité manifester plus concrètement encore leur engagement en se portant candidats sur notre liste électorale. Rejoints par d’autres acteurs de la vie politique et associative dinantaise, ils ont été officiellement présentés le 8 juin dernier lors d’une soirée rassemblant plus de 400 personnes à La Balnéaire.
Ensemble, les 23 candidats ont ensuite arpenté les routes de la commune, chaque dimanche matin, pour constater les réalités du terrain. Attentifs aux suggestions et aux réclamations émises par les habitants venus à leur rencontre, ils ont découvert ou redécouvert les richesses de nos quartiers et de nos villages. Ils ont pris conscience des progrès qui pouvaient encore être accomplis dans de nombreux domaines dans l’intérêt de tous les Dinantais.
Aujourd’hui, chacune et chacun de ces candidat(e)s s’adressent à la population dinantaise pour lui proposer les projets qui leur tiennent à cœur et qu’ils sont prêts à porter. Grâce à leur expérience et aux compétences acquises, ils s’engagent à donner vie à des idées qui ont été initiées par des habitants de notre commune. Ils sont déterminés à mettre en action leur énergie et leurs capacités pour les mener à bien, dans l’intérêt de tous les Dinantais.
Ces propositions répondent à un même souci de faire en sorte que, demain, les Dinantaises et les Dinantais puissent « vivre mieux ensemble dans notre commune ».
En priorité, nous souhaitons assurer à chaque habitant de notre commune la possibilité d’y vivre décemment. Il est de la responsabilité du pouvoir communal de tout faire pour développer une activité économique florissante sur son territoire pour offrir des emplois de qualité à ses administrés. Afin d’accéder à des carrières professionnelles épanouissantes, l’enseignement et la formation des habitants doivent y être développées en lien avec le marché de l’emploi.
Les besoins de base de notre population doivent nécessairement être rencontrés. La sécurité de leur personne et de leurs biens est indispensable à leur bien-être. Dans une commune bien équipée en établissements de soins, la santé des habitants doit être un objet d’attention constant, dès le plus jeune âge. De même, notre volonté est de veiller à ce que chaque Dinantaise et chaque Dinantais vive dans la dignité humaine en accordant une attention toute particulière aux enfants et aux personnes âgées.
Ensuite, nous souhaitons vivre mieux à Dinant. Bénéficiant d’un cadre de vie exceptionnel, nous avons observé que de nombreux efforts pouvaient être accomplis pour rendre notre environnement plus propre, plus convivial et surtout plus confortable. La mobilité reste le problème numéro un des usagers qui empruntent les voiries traversant notre centre-ville tandis que nos routes communales ont besoin d’un véritable programme de réfection et d’entretien. Sur le plan du logement, une réflexion profonde doit être menée afin d’établir les besoins réels de notre commune en ce domaine.
Les Dinantaises et les Dinantais nous ont aussi exprimé leur souhait de « mieux vivre ensemble ». Le monde associatif et les milieux sportifs méritent de meilleures infrastructures et un entretien plus régulier de leurs équipements. Des espaces publics accueillants et confortables pour les habitants sont réclamés, avec raison, dans tous les quartiers et villages. Les jeunes et les aînés attendent des lieux et des activités adaptés à leurs besoins. Nous souhaitons également apporter une plus grande attention aux difficultés rencontrées, dans notre commune, par les personnes handicapées. Trop peu de progrès ont été accomplis pour elles durant cette législature !
Enfin, nous nous engageons à mener une gestion communale résolument ouverte à l’égard des citoyens dinantais. Nous veillerons à assurer une communication plus transparente et à mettre en œuvre une concertation plus large avec la population. Nous serons attentifs à traiter tous les habitants de manière équitable et à offrir une présence des services publics sur l’ensemble du territoire communal.
Vous recevrez bientôt dans votre boîte à lettre, notre programme complet. En attendant, découvrez ici chaque jour les projets qui le composent. Si le programme ne vous parvenait toutefois pas, n'hésitez pas à adresser vos coordonnées postales à info@interetedesdinantais.be. Nous nous ferions un plaisir de vous le faire parvenir
Les candidats de la Liste ID !
Découvrez ici les projets de nos 23 candidats (cliquer sur le projet pour en savoir plus)
Des Dinantais en bonne santé - Philippe Damoiseaux n°13.
Garantissons la sécurité de tous les usagers sur nos routes ! - Régine Florent n°14.
Osons rêver.... - Marie-Christine Vermer n°22.
Une espace économique attractif et… « smart » - Chantal Taminiaux - Clarenne n°4.
Des formations de qualité pour des emplois de qualité ! - Jean-Loup Dekairelle n°17
Culture, folklore, fêtes : une commune vivante. - Delphine Claes n°2
Notre cadre de vie, une richesse à protéger ! - Thierry Bodlet n°23.
Un environnement plus vert, plus propre, plus agréable - Jacqueline Goffart n°6
Vivre dans « une carte postale » et la faire vivre – John-Laurent Nève n°9
Un patrimoine unique à valoriser – Thomas Bouillon n°5
Une mobilité plus fluide à Dinant, c’est possible ! – Brigitte Delchevalerie – Ernont n°12
400 km ! – Joseph Jouan n°21
Des espaces partagés – Anne-Marie Floymont n°20
Du sport pour tous dans des infrastructures de qualité – Stéphane Weynant n°3
Des liens entre générations, au cœur de notre commune – Martine Hoyos – Robberechts n°18
Pour une commune inclusive – Carine Crucifix – Van Den Bosschelle n°16
Des enfants bien dans leur école ! – Christelle Maurer – Lespagne n°8
A l’écoute des enfants… et de leurs parents ! – Camille Castaigne n°10
Des espaces pour les jeunes ! – Tristan Lejeune n°15
La politique communale, ça nous regarde ! – Gautier Coulonvaux n°11
Un service « travaux » professionnel – Omer Laloux n°7
Une commune au service des citoyens – Lionel Naômé n°19
Réhabilitons Montfat pour les Dinantais – Axel Tixhon n°1, Candidat Bourmestre
Dinantais de naissance et de cœur, je me suis consacré avec ardeur à la médecine et ma pratique professionnelle m’a amené à comprendre les préoccupations et les aspirations essentielles de mes concitoyens.
Nous avons la chance d’avoir un centre hospitalier performant que nous devons accompagner dans son développement. L’accessibilité aux soins pour tous peut être améliorée au niveau des transports (TEC, taxi social, …), et de l’aide aux personnes à mobilité réduite, aux personnes âgées, isolées ou précarisées. Le CPAS y a une mission sociale importante à accomplir. La population a aussi besoin de plus de places dans les crèches et les maisons de repos.
Par mon engagement communal, je souhaite aussi développer des actions de prévention et une sensibilisation à une alimentation saine dès l’enfance, en particulier dans nos écoles. Une belle occasion de mettre en avant des produits locaux et de qualité !
Il est tout aussi important de promouvoir les sports et la pratique d’une activité physique à tous les âges, ce qui implique la mise en place des infrastructures nécessaires, l’aménagement de pistes cyclables et l’entretien des circuits pédestres. Il est également essentiel de soutenir des initiatives telles que « Je cours pour ma forme ».
La commune doit aussi participer à la lutte contre les assuétudes par le soutien aux personnes et aux associations qui s’en occupent.
Les limitations de vitesse ne sont pas toujours respectées dans les villages et les quartiers, nous le déplorons tous les jours.
Il peut être dangereux d’être piéton quand une grand’ route traverse un village. C’est le cas par exemple à Falmignoul, à Falmagne, à Liroux, à Loyers, ou encore à Bouvignes.
Que faire ?
- Créer les conditions pour que les voitures ne roulent pas trop vite.
Comment ?
- En réduisant la zone de roulage dévolue aux voitures,
- En créant des « effets de porte » à l’entrée des villages au moyen de plantations et de pavés,
- En mettant en place des dévoiements qui rendent impossibles les dépassements dangereux,
- En plaçant des casses-vitesse,
- En ajoutant des passages pour piétons,
- Partout où c’est faisable, en délimitant des pistes cyclables via un marquage au sol (peinture).
Pour les voiries communales, des projets PCDR (Plan Communal de Développement Rural) financés par la Région à hauteur de 70% peuvent être mis en place.
En ce qui concerne les routes régionales de l’entité, c’est à la commune d’interpeller la Région pour faire réaliser les travaux nécessaires.
Pour ID, avoir des rues où les enfants peuvent faire du vélo et jouer en toute sécurité, c’est une priorité !
Une ville où tous se sentent bien « chez eux » ;
Une ville sécurisée où les aînés comme plus jeunes se promènent, sans crainte, après la tombée de la nuit ;
Une ville bien éclairée par des « leds » suffisants tant pour les promeneurs que pour l’efficacité des caméras ;
Une ville où les stewards urbains sont là pour assurer propreté et salubrité, pour recueillir les observations des citoyens et aider à résoudre de petits problèmes (plaques d’égouts soulevées, poubelles non vidées, pavés en mauvais état, etc…) ;
Une ville où les innovations permettant de promouvoir la propreté seront utilisées, surtout près des plaines de jeux…
Osons rêver …
Un centre ville où des aides sont instaurées pour soutenir les commerçants en place et permettre de développer l’activité,
Un centre ville renouvelé au niveau commercial par une politique proactive pour attirer de nouveaux commerçants et de nouveaux artisans par des aides à l’investissement et à l’installation, des exonérations au niveau des primes et des taxes durant les premières années,
Un centre-ville où une concertation régulière entre les commerçants et l’échevin responsable permet la prise en considération des revendications des acteurs de terrains et la mise en place de leurs propositions,
Un centre-ville où une régie foncière communale favorisera la mise en place de projets, comme l’installation de commerces éphémères et l’instauration de quartiers multifonctionnels !
Avec vous, le rêve peut se réaliser
Dinant est indiscutablement une destination touristique attractive grâce à son cadre naturel magnifique et à son patrimoine ! Cela restera … pour autant que nous en prenions soin !
Mais il est nécessaire, pour augmenter encore cette attractivité, de soutenir davantage les commerces et de capitaliser sur des activités artisanales locales (la Dinanderie, les produits de notre terroir et les créations de nos artistes, …)
« Dinant, ville bienveillante pour les artisans » est un slogan qui doit devenir une réalité !
Il faut permettre aux acteurs économiques de s’exprimer en recréant un espace qui réunit tous les entrepreneurs pour qu’ils adhèrent et participent à une véritable politique économique coordonnée par la ville. Il faut accentuer la collaboration avec les forces vives et les associations concernées par les activités économiques telles que l’Agence de Développement Local et le Bureau Economique de la Province, mais aussi créer des synergies avec les communes voisines.
La ville doit profiter de l’intelligence de son territoire.
Je suis également convaincue qu’il faut mettre en place des outils et des services numériques à la disposition des citoyens, des entreprises, des associations, des touristes, …
Dinant doit s’inscrire plus franchement dans la démarche « Smart city ». Cette action doit être dirigée par un échevin du numérique chargé d’implémenter, au niveau communal, toute une série de progrès technologiques tels qu’une plateforme citoyenne participative, des services administratifs accessibles via internet, ou encore un affichage intelligent des informations concernant la circulation.
Sur les toits depuis près de vingt ans, mon métier de couvreur m’a fait prendre conscience de l’importance de la formation pour acquérir les compétences de base d’un métier.
A Dinant, nous avons la chance de bénéficier de plusieurs établissements scolaires renommés, tant dans l’enseignement général que dans le technique et le professionnel. L’Institut pour la Formation en Alternance (IFAPME) de Bouvignes constitue aussi une belle opportunité pour apprendre, de manière très pratique, de nouveaux métiers ou pour parfaire ses connaissances.
Afin de mieux répondre aux besoins du marché de l’emploi, il serait utile que ces établissements travaillent ensemble au sein d’une structure coordonnée par le pouvoir communal.
En multipliant les relations avec le monde professionnel, les formations pourraient aussi être plus adaptées aux réalités du terrain.
Habitués à se rencontrer, formateurs et employeurs agiront encore plus efficacement pour offrir des emplois de qualité à des travailleurs compétents et motivés… pour le plus grand bénéfice des Dinantais !
Animatrice au Centre Culturel de Dinant, je constate la richesse des activités proposées tout au long de l’année dans notre cité.
Ville touristique dédiée au saxophone, Dinant connait des périodes de grande animation.
Tous ces événements culturels, folkloriques, populaires offrent une image positive et dynamique de notre commune non seulement pour les visiteurs mais aussi pour ses habitants qui y trouvent autant d’occasions de se rencontrer et de se réapproprier l'espace public.
De nombreuses personnes, au sein d'associations ou non, se mobilisent toute l'année pour que Dinant soit vivante !
Ces initiatives méritent un soutien de la part de la commune, qu'il soit financier, logistique ou promotionnel.
La Ville doit surtout assumer son rôle de coordinatrice afin de faire en sorte que les évènements puissent avoir lieu de façon fluide, dans le respect de chacun et en concertation avec les riverains.
Un document mis à jour régulièrement devrait également être accessible par tous ceux qui organisent une activité ouverte au public, que cela se passe au centre-ville ou dans les villages et quartiers. Ce fichier reprendrait tous les évènements ayant lieu dans l’entité dinantaise, afin de permettre aux organisateurs de choisir leur date en connaissance de cause. Il pourrait ensuite servir de base à un agenda des animations dans notre commune et aiderait à la promotion des événements organisés chez nous.
Une réflexion globale de l’évolution de l’habitat est nécessaire pour analyser les besoins réels de l’entité.
Le bâti existant doit être prioritairement rénové, entretenu, valorisé et adapté au confort moderne. La lutte contre les marchands de sommeil doit être permanente. Cette philosophie doit aussi permettre de restaurer une véritable mixité sociale dans certains quartiers en souffrance.
En plus des outils existants, la création d’une régie foncière est nécessaire pour acquérir, et transformer des biens qui ne correspondraient pas aux objectifs qualitatifs de la Ville.
Au niveau du patrimoine, nous voulons préserver la carte postale de notre Haute Meuse et la ruralité de nos villages. Une analyse raisonnée des investissements doit préserver le caractère typique et naturel de notre cadre de vie. La vallée mosane doit être préservée d’une littoralisation de ses rives. Dans nos villages, valorisons les aspects authentiques d’un bâti aéré et confortable pour lui conserver sa dimension humaine et familiale.
Initiatrice de « Dinant en transition » et co-fondatrice de la coopérative « Copèractive », je suis investie depuis plusieurs années dans des projets pour améliorer, au quotidien, la qualité de vie des Dinantais.
Grâce à l’obtention du subside régional « Prim’vert », nous espérons prochainement assurer la végétalisation du chemin de halage en amont de la Croisette, depuis la résidence Les Brasseurs jusqu’au Rocher Bayard.
Je suis persuadée que l’initiative citoyenne, bien soutenue par le pouvoir communal, est capable de mener des actions très concrètes et très efficaces pour rendre notre environnement plus agréable à vivre. En partenariat avec les comités d’animation de village et de quartiers, une politique plus proactive doit être menée pour veiller à la propreté des espaces publics. Des poubelles publiques, plus nombreuses et plus souvent vidées, sont indispensables.
Nous ne devons plus hésiter, à faire preuve de sévérité à l’égard des comportements inciviques. Des agents constatateurs, formés spécifiquement à cette problématique, devront renforcer les rangs de la police locale. La sensibilisation de la population doit être également renforcée, en collaboration avec toutes les écoles de la commune.
Je voudrais également faire en sorte que Dinant devienne une ville du développement durable et du commerce équitable.
Le cadre naturel de Dinant est unique, il est une composante essentielle de l’attachement que beaucoup d’entre nous ont pour la commune. A nous de le préserver, de le valoriser et de le faire découvrir.
Ma formation d’architecte et ses outils de lecture du territoire me donnent la conviction que c’est en renforçant l’identité et la particularité des différents lieux de la commune que nous les rendrons encore plus attractifs et complémentaires.
Tant le centre-ville que les quartiers et villages regorgent de richesses patrimoniales et naturelles susceptibles d’être découvertes par des touristes respectueux. Des charmantes ruelles bouvignoises aux abords de la Lesse, des cascatelles enchanteresses aux grottes mystérieuses, des remparts urbains aux solides fermes condruziennes, des clochers élégants aux rochers abrupts, la variété des atouts est exceptionnelle.
En s’appuyant sur cette diversité de la commune, nous pourrons en renforcer l’attrait touristique tout en l’intégrant mieux. Plus de retombées et moins de nuisances !
Par quel miracle ? Grâce à la diversification de l’offre, déjà bien comprises de nombreux acteurs touristiques Dinantais. Avoir une offre élargie, et donc attractive, mais limitée en taille. Ceci vaut tant pour les modes d’hébergement (privilégier les gîtes, chambres d’hôtes, campings, hôtels… aux mégas villages de vacances) que pour les activités touristiques.
La Lesse, par exemple, subit aujourd’hui une pression bien trop forte, liée pour une bonne part à l’excès de kayaks, ce qui met en péril son équilibre écologique, l’attrait qu’elle représente pour tous les autres usagers (promeneurs, pêcheurs, riverains…) et la renommée de Dinant, qui au-delà du tourisme sur la Croisette, doit devenir une destination familiale de séjour. Nous avons tous les atouts pour y parvenir.
Bercé par l’histoire de Dinant depuis mon enfance et ayant vécu 14 ans en face du mur Tschoffen, je suis profondément attaché au patrimoine dinantais. Ce dernier, d’une richesse exceptionnelle, est largement sous exploité.
La collégiale Notre-Dame, le parc de Furfooz, le château de Walzin, le plafond de l’église de Foy-Notre-Dame ainsi que les rochers de la vallée mosane entre Bouvignes et Anhée figurent au patrimoine exceptionnel de Wallonie. Certains de ces joyaux méritent de nouveaux investissements en vue d’assurer une nécessaire restauration ou une meilleure valorisation.
De nombreuses curiosités locales sont encore trop méconnues, non seulement par les Dinantais, mais aussi par les touristes qui pourraient s’attarder plus longtemps dans notre commune. Un programme de visites guidées de qualité pourrait être mis en œuvre tout au long de l’année en vue de découvrir, à titre d’exemples, le donjon de Cavrenne, les vieux remparts de la ville ou encore le château-ferme de Thynes.
Nos villages et nos quartiers sont aussi riches de leur « petit patrimoine », témoin du passé : potales, petites chapelles, lavoir, fontaines, etc. Lui aussi mérite d’être entretenu ou restauré.
Enfin, je rêve d’un musée, installé dans un de nos prestigieux bâtiments historiques (bâtiments du CPAS, palais de justice) où le riche passé de Dinant serait expliqué et présenté de manière vivante. Notre histoire est unique, nous pouvons en être fiers !
Conseillère en mobilité à la Région wallonne, je suis prête à faire profiter notre commune de mon expérience dans le domaine. Installée en plein milieu de la rue Saint-Jacques, je suis en première ligne pour y observer la densité de la circulation routière !
Pour moi, la priorité est l’entretien des 400 km de voirie communale. De Furfooz à Awagne, de Boisseilles à Falmagne, le constat est le même : il y a trop d’interventions au cas par cas. Mettre en place un programme d’entretien global systématique nous permettra de connaître la situation des voiries en temps réel. Le réseau de sentiers publics dinantais doit être entretenu avec la même rigueur.
Nous voulons aussi renforcer l’attractivité commerciale du centre-ville pour les clients via du stationnement intelligent, mais aussi renforcer l’accès aux modes doux (vélo électrique, vélo, marche), tant pour la mobilité quotidienne que pour le tourisme. La mobilité autour des écoles ne doit pas être oubliée, nous souhaitons mettre en place des rangs scolaires.
Une attention toute particulière doit être portée aux personnes à mobilité réduite. Il est dommage que notre ville n’ait jamais obtenu le label Handicity. Tenir compte des besoins des PMR quand on aménage l’espace public est une priorité.
En matière de stationnement, la création d’un parking de dissuasion proche à la fois des accès principaux à Dinant et de son centre, nous parait indispensable. Le choix du plateau de Mont-Fat nous paraît pertinent, avec une solution confortable pour rejoindre le centre-ville.
Fluidifier la circulation du centre ville est d’une importance vitale. Nous devons notamment envisager la poursuite des études pour la construction d’un second pont au niveau de Leffe afin d’en vérifier la pertinence. Nous devons désenclaver Bouvignes et faciliter la qualité de vie de tous les habitants.
C’est la longueur totale des voiries communales !
La longueur des voiries dont la commune de Dinant a la charge, qu’elle doit entretenir … ou remettre en état si besoin est.
Si l’entretien n’est pas régulier, très vite, les routes peuvent se dégrader et devenir des pièges pour les usagers ! Il est fréquent d’entendre des conducteurs se plaindre d’avoir endommagé un pneu dans un nid-de-poule ou d’avoir dû remplacer les amortisseurs de leur véhicule à cause du mauvais état de la voirie !
Quand on circule dans l’entité dinantaise, on rencontre des tronçons qui nécessitent une réfection importante parce qu’il n’y a pas eu d’entretien à temps. On peut citer, par exemple, le chemin du Bassin à Lisogne, la route de Foy-Notre-Dame à Sorinnes, la descente vers Grognaux à Thynes, l’entrée du village de Taviet, la traversée de Dréhance, la route de Meez à Bouvignes, etc.
Il est évidemment impossible de tout remettre en état en quelques mois. Mais il est essentiel, si l’on veut améliorer la situation, de mettre en place un plan pluriannuel prévoyant la réfection de ces tronçons de route.
Pour arriver à cet objectif, le budget doit prévoir chaque année une somme allouée aux voiries communales. Et cette somme ne doit pas rester une prévision, elle doit évidemment être effectivement utilisée pour améliorer nos routes ! Une évaluation annuelle des progrès accomplis doit être présentée au conseil communal et à la population, via le bulletin communal.
Enseignante, je suis sensible à l’éducation et à l’épanouissement des enfants et des jeunes. Je suis également passionnée par tout ce qui peut contribuer au « bien-être » et au « bien vivre ensemble ».
Soucieuse du caractère rural de notre belle commune, je suis très attachée à la vie de village et à son animation.
Pour répondre à une demande maintes fois entendue, je suis convaincue de la nécessité de créer des espaces de rencontre pour les enfants, les jeunes et les moins jeunes.
Je pense d’abord à des plaines de jeux, à des bancs, à un coin « barbecue »…
Ensuite, en fonction des besoins et des motivations des habitants, cet espace pourrait s’enrichir de boîtes à livres, de nichoirs, d’hôtels à insectes, d’un potager partagé … (au gré de l’imagination des utilisateurs !).
Des initiatives locales donnent l’exemple de ce type d’infrastructure : Dans le village de Dréhance, une plaine de jeux et un espace « barbecue » ; à Wespin, un jardin partagé …
J’espère voir fleurir ce genre d’espaces dans de nombreux endroits de la commune. Je me battrai pour réaliser cet objectif.
Je suis convaincue qu’en conjuguant la créativité des enfants, l’enthousiasme des jeunes, le dynamisme des parents, le savoir-faire des ainés, avec le soutien et l’engagement du pouvoir communal, tous les rêves sont possibles !
En ma qualité de président de l’AL Lisogne - Thynes et en tant que pratiquant assidu du cyclisme, je suis sensible à la problématique des infrastructures sportives.
Il convient cependant d’insister sur la possibilité de faire du sport sans infrastructure. A cette fin, une régie des sports dans notre commune pourrait prendre en charge la mise en place de « dimanches sportifs » (promenades 5 km et 10 km – VTT 20 km), organisés dans chacun des quartiers et villages de l’entité.
En ce qui concerne les infrastructures actuelles, il convient d’en établir un état des lieux et ensuite de veiller à leur bon état d’entretien et de fonctionnement tout en y apportant les améliorations nécessaires.
Pour des projets de plus grande envergure (hall omnisport – piste d’athlétisme – piscine), il importe avant tout de solliciter une plus juste répartition des deniers régionaux. Pour ces projets conséquents, il est intéressant d’envisager de travailler en partenariat avec les communes voisines.
L’argent public méritant le respect, la dépense ne sera accordée qu’après un examen minutieux des projets. C’est à ce titre que je favoriserai la création de commissions spécifiques intégrant des élus et des citoyens intéressés par le projet. Ces commissions établiront un rapport qui fera l’objet d’une diffusion la plus large possible via le bulletin communal et les réseaux sociaux et permettra de prendre des décisions en connaissance de cause.
Une commune où il fait bon vivre ensemble, toutes générations confondues, une commune qui aménage l’espace public pour qu’il soit agréable, confortable, convivial et accessible à tous, enfants, ados, adultes, et aînés, voilà des objectifs qui nous tiennent particulièrement à cœur.
Dans nos villages et nos quartiers, un effort doit être accompli pour aménager des trottoirs larges et éclairés permettant le passage de tous, poussettes, déambulateurs et chaises roulantes compris !
L’espace public doit être conçu comme une invitation à la rencontre où chacun peut transmettre son expérience de vie et la partager avec les autres.
Bien équipé avec des bancs confortables, des jeux sûrs et bien entretenus, il deviendra le cœur de la vie en communauté.
Dépassant les rencontres ponctuelles et éphémères entre les générations pour faire de l’intergénérationnel une véritable culture, notre commune bénéficiera de la mise en valeur du rôle et des apports de chaque génération. Les plus jeunes ont les capacités d’initier les aînés à l’utilisation des nouvelles technologies. Nos seniors ont acquis beaucoup d’expérience au long de leurs carrières professionnels. Ils sont prêts à conseiller les nouvelles générations souvent inquiètes pour leur avenir.
En tant que travailleuse sociale depuis 37 ans, j’accorde une grande importance à la justice sociale et à la participation de chacun dans la construction de son cadre de vie.
La sécurité, si elle peut être améliorée par quelques caméras de surveillance, sera encore renforcée par une meilleure inclusion de chaque citoyen au sein de sa commune.
En favorisant la coordination des différents services sociaux de la commune, des réponses globales et sans doute plus efficaces seront apportées aux situations d’endettement, aux difficultés d’accès au logement, ou aux problèmes de mobilité qui frappent certaines familles dinantaises.
Un accueil des nouveaux arrivants lors d’une soirée d’information organisée deux fois par an devrait améliorer l’insertion de ces nouveaux habitants, parfois fragilisés, au sein de notre commune.
Des activités d’apprentissage de bonnes pratiques de consommation seront organisées afin d’aider les personnes en difficultés à mettre en œuvre des mesures leur permettant de se sortir de leur situation problématique.
Beaucoup de personnes souffrent de la solitude. Des actions doivent être menées pour lutter contre cet isolement souvent douloureux.
La Commission Consultation Communale des Ainés doit aussi retrouver un rôle actif et proposer des actions à mener. Il est aussi essentiel de lui donner les moyens de réaliser ces projets.
Les actions de réinsertions professionnelles, comme celles menées par le Tremplin ou la Régie des Quartiers, doivent être encouragées et aidées.
L’Ecole des devoirs met en place un accompagnement aux enfants dans le cadre de leur scolarité. Elle doit être soutenue pour pouvoir mener ses actions.
Pour les personnes en difficultés, un accueil de qualité doit être réservé au sein des services publics, tant au sein du Centre Public d’Action Sociale qu’au niveau communal. Des lieux confortables et assurant un traitement discret des demandes sociales assureront cet accueil.
Maman d’une petite fille de 8 ans, je suis, comme tous les parents de jeunes enfants, attentive à leur développement et à leur épanouissement.
A Dinant, nous avons la chance de bénéficier de nombreux établissements scolaires de qualité. Je suis, ainsi, particulièrement attentive au maintien et au développement de toutes nos écoles de village, quel que soit le réseau dont elles dépendent.
Avant et après les heures scolaires, l’accueil de nos enfants devrait être encore amélioré. Trop souvent, il se résume à une simple garderie. Encouragée et coordonnée par le pouvoir communal, une équipe chargée de l’organisation de ce « temps libre » pourra répondre efficacement aux besoins des parents de toute la commune.
La mise sur pied d’un programme d’activités durant les « jours blancs », au bénéfice de l’ensemble des élèves et des écoliers de la commune, serait nécessaire. Cela se fait déjà ailleurs (à Ciney, par exemple), pourquoi pas chez nous ? Utilisons, pour atteindre cet objectif, les offres culturelles et sportives qui ne manquent pas à Dinant pour notre jeunesse…
Ancienne animatrice scoute dans les unités de Dinant et d’Anseremme, la jeunesse a toujours été au cœur de mes préoccupations.
Je souhaite participer à la création d’un conseil communal des enfants afin qu’ils puissent s’approprier les concepts de démocratie et de citoyenneté par la réalisation de projets par et pour les enfants. La réalisation de cette proposition passe par une collaboration étroite entre les enseignants et un membre du collège communal. Par le biais de réunions (bi)mensuelles, les enfants s’initieront à la prise de parole, à la réflexion, au travail en commun et à l’écoute des autres afin de réfléchir ensemble à la mise en place de projets d’intérêt collectif.
Le second domaine qui me tient à cœur est l’accueil des très jeunes enfants. Je souhaiterais, avec le groupe ID, l’ouverture de nouveaux milieux d’accueil de la toute petite enfance à proximité des écoles. Proposant des horaires plus larges, ces crèches permettront aux parents qui travaillent de bénéficier de petites structures proches de chez eux.
Il est important que nos petites écoles puissent bénéficier d’un vivier de nouveaux élèves pour leur permettre de continuer à vivre et à se développer.
Membre du comité des jeunes d’Anseremme et organisateur d’événements festifs dans la région dinantaise, j’ai la chance de côtoyer une grande partie des Dinantaises et des Dinantais qui participent à nos activités.
Il n’est pas toujours facile de trouver des espaces où il est possible d’organiser des soirées ou de se retrouver, tout simplement, entre garçons et filles du même âge. Les lieux qui nous sont proposés ne sont pas toujours adaptés à nos souhaits alors que nous ne voulons surtout pas déranger les habitants.
Notre groupe d’Anseremme, comme certainement d’autres groupes de jeunes à travers la commune, serait heureux de pouvoir disposer de locaux pour regrouper son matériel en toute sécurité et accueillir ses membres de manière conviviale. D’autres, c’est le cas notamment pour le comité des jeunes de Sorinnes, disposent déjà de locaux mais des travaux doivent y être effectués pour que leurs activités puissent se tenir dans les meilleures conditions. Répondre à ces besoins est une priorité pour moi.
En centre-ville, les espaces manquent pour permettre aux jeunes de se retrouver dans un environnement sûr et agréable … Il existe des possibilités pourtant : par exemple, l’amélioration du Skate park, la mise en place d’un espace de « street workout » ou d’autres types d’infrastructures de sport de rue.
Plus largement, j’ai l’impression que la voix des jeunes pourrait être plus souvent écoutée par le pouvoir politique communal.
Demain, je suis déterminé à faire entendre notre voix !
Descendant de deux familles implantées à Dinant depuis de nombreuses générations et impliquées activement dans son évolution, je suis témoin direct de la volonté de la population de vouloir changer les choses et d’être plus consultée sur la dynamique de la commune.
Je crois en la participation citoyenne dans la gouvernance de la commune.
Pour cela, nous devons commencer par mieux informer les habitants sur la vie politique de notre Ville en améliorant la communication via son site internet et un bulletin communal papier qui se voudront plus communicatifs et interactifs.
Rendons également les conseils communaux plus accessibles au citoyen en utilisant des moyens de communication modernes, par exemple en retransmettant en direct sur Internet les séances du Conseil communal.
Informer le citoyen ne suffit pas, il faut également l’écouter.
La mise en place d’initiatives et de moments de rencontre entre les citoyens et le Conseil communal doit permettre de recueillir, dans tous les quartiers et les villages de l’entité, les desiderata des habitants.
Actif également dans les mouvements de jeunesse, je sais que la jeune génération a le droit et l’envie d’être écoutée et impliquée dans la vie de la commune. Je veux travailler à la mise en place de conseils des enfants et des jeunes qui aideront à former de futurs adultes conscients et responsables.
Le service travaux doit être géré comme une entreprise. L’Administration établira la liste des priorités en concertation avec l'Echevin responsable, qui sera chargé du suivi du programme proposé et présentera semestriellement son programme d'entretien ou de rénovation et son taux de réalisation.
Un relevé exhaustif des tâches récurrentes (tonte, nettoyages des avaloirs, taille des haies, …) sera réalisé.
Pour réaliser ces tâches récurrentes, des équipes d'entretien (cantonniers) seront réparties par quartier ou ensemble de villages. Elles assureront ainsi le nettoyage complet des zones concernées.
Un budget annuel d'entretien des voiries communales sera élaboré, à charge pour l'Administration de le mettre en œuvre dans les six mois de l'approbation du budget par l'Autorité régionale. Ce budget récurrent devra permettre à terme de remettre en état la majorité des voiries locales. L'Echevin responsable fera annuellement rapport au Conseil communal du suivi de ce programme.
Tous les espaces de jeux de la Commune seront rénovés et modernisés en profitant, pour certains, du savoir-faire de nos ouvriers spécialisés : ferronnier, menuisier, ...
Une fois par année, les habitants des zones concernées seront invités à faire le point avec l’Administration sur les améliorations à apporter au programme d'entretien.
Plus que jamais, vouloir faire de la politique aujourd’hui doit se concevoir autrement, avec un autre état d’esprit. La gestion participative, bien plus qu’un leitmotiv, doit permettre une plus grande sensibilisation des dinantais quant aux décisions qui les concernent en première ligne. Une manière concrète d’atteindre cet objectif est de réserver une partie du budget communal à la réalisation de projets initiés et mis en œuvre directement par les citoyens, avec l’aide de l’administration (budget participatif).
Pour beaucoup de personnes, la commune est l’endroit où l’on va pour trouver une solution à certains problèmes. Nous voulons confier le suivi de ces demandes à une personne de contact issue de l’administration communale, celle-ci sera chargée d’écouter les citoyens et de les diriger vers les personnes ou les services compétents, en évitant de passer par les « permanences sociales » des mandataires politiques.
Un agent sera chargé de la réalisation et du suivi des projets subsidiés par d’autres niveaux de pouvoir, ce qui permettra à l’administration communale et aux citoyens de connaître plus précisément l’évolution des dossiers qui les concernent directement.
Une information transparente et régulière, des décisions collégiales, une utilisation responsable et objective de nos finances doit permettre d’éviter des investissements trop lourds ou peu bénéfiques pour nos concitoyens.
La gestion vue par ID passera avant tout par la valorisation de nos fleurons au niveau du patrimoine, de la culture, du tourisme.
En mai 2017, la minorité au conseil communal a été rejointe par plusieurs membres de la majorité pour condamner, de manière définitive (?), le projet de grand village de vacances souhaité par l’entreprise Dormio sur l’ancienne plaine de Montfat. J’ai joué un rôle moteur dans cette démarche de protection de ce site historique si cher aux Dinantais.
Durant la prochaine législature, je souhaiterais que cette propriété, appartenant actuellement à des privés, soit acquise par la commune et aménagée, grâce aux subsides régionaux prévus pour les « Sites à réaménager » (SAR).
Les magnifiques sentiers traversant les jardins accrochés à la colline et l’antique grotte de Montfat doivent, à nouveau, être accessibles aux Dinantais.
Une salle de 250 à 300 places, bien équipée et modernisée, pourra accueillir, à prix démocratiques, les activités organisées par le milieu associatif local.
Une nouvelle plaine de jeux sera ouverte aux familles dinantaises et aux touristes. Un vaste parking gratuit permettra à tous de bénéficier d’un stationnement aisé à proximité du centre ville.
à terme, nous espérons y installer un mode de déplacement rapide mais peu coûteux vers la vallée…
Un véritable trait d’union entre le centre et le plateau, un lieu de rencontre intergénérationnel, un espace convivial pour tous !
